Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux
En tant que pole politique de la Fédération des Professionnels de la Gestalt-Thérapie (FPGT), nous confirmons notre adhésion à l’Association Européenne de Gestalt-Thérapie (EAGT)
Nous soutenons un modèle de formation, d’exercice du métier et du titre de Gestalt-thérapeute, reposant sur un socle et deux piliers.
Nous adhérons aux critères, d’une part de formation, et d’autre part d’éthique et déontologie européens, appliqués à la Gestalt-thérapie par l’EAGT. Ce sont nos piliers.
Nous considérons que ce sont les associations professionnelles qui doivent être garantes et socle de cet exercice professionnel.
Par ailleurs notre choix d’adhésion à l’EAGT a plusieurs implications :
A ce jour l’état Français réserve le titre de psychothérapeute aux seuls psychologues, médecins ou psychiatres reconnus par les Agences Régionales de Santé, mais n’a pas régulé la pratique de la psychothérapie.
Avec les sept écoles (dont IFGT et Gréfor, à ce jour non-validées par l’EAGT), nous souhaitons participer aux démarches en vue de l’obtention d’une Reconnaissance Nationale des Compétences Professionnelles (RNCP) qui, non seulement valide un cursus de formation, mais aussi un titre nommant notre exercice professionnel.
Un double enjeu se présente dans cette démarche qui est celui d’une part d’une reconnaissance de notre pratique à travers un titre et d’autre part l’accès au CPF pour les candidats à la formation. En tant qu’organisme regroupant les professionnels de la Gestalt-thérapie, nous voulons défendre une place de co-certificateur des instituts de formation dans cette démarche de reconnaissance de formation ouvrant à la pratique d’un métier.
Par ailleurs dans la perspective de l’attribution d’un RNCP, nous voulons être vigilant à ce que l’attribution d’un titre de Gestalt-thérapeute reste ouvert à tout organisme qui en ferait la demande et répondrait aux critères de formation et de déontologie.
Nous faisons le choix d’une collaboration avec le FF2P pour défendre, auprès des instances et pouvoirs publics en France, la reconnaissance de la thérapie relationnelle dans ses aspects institutionnels, administratifs et financiers en lien avec les autres méthodes pratiquées en France.