L’environnement comme ressource - partie 2
Le groupe de Gestalt-thérapie
La Gestalt-thérapie s’appuie sur le champ organisme/environnement. En thérapie duelle, l’environnement est constitué du thérapeute, du patient et de l’espace dans lequel se passe la séance.
Un premier article (1) décrivait les facteurs thérapeutiques visibles dès la phase d’orientation du groupe.
Dans ce second article, complémentaire du premier, nous regarderons les facteurs thérapeutiques qui apparaissent dans la phase de confrontation, celle de maturité et de clôture du groupe.
A - La phase de confrontation (2) :
Après un certain temps de vie du groupe, la phase de confrontation peut apparaître lorsque la sécurité est suffisante. C’est le début des interactions et de la confrontation entre les membres et/ou avec le thérapeute. L’énergie est présente, les besoins de contrôle apparaissent et les émotions commencent à s’exprimer. C’est le moment où certains se différencient du groupe et où d’autres s’accrochent à la confluence du groupe.
1. Développer l’altruisme
Le groupe de psychothérapie est un espace particulier pour développer l'altruisme : chacun aide les autres et reçoit des autres. C'est un formidable levier pour développer l'estime de soi.
Dans cette phase le groupe devient un espace d’expérimentation où progressivement les interactions augmentent. La personne peut commencer à adresser sa parole aux autres membres en surmontant par exemple sa peur de blesser, d’être jugée, de se juger …
Le travail sur les interactions, en ralentissant le processus et en accompagnant le ressenti de celle ou celui qui reçoit cette parole, amène aussi des prises de conscience chez la personne qui parle. Chacun prend conscience, en tant qu’émetteur ou récepteur, de sa parole et des ressentis associés à cette dernière.
Le retour du destinataire, même s’il est partagé plusieurs séances après, permet à la personne de se sentir utile à l’autre, et de prendre aussi conscience de l’intérêt de partager ses ressentis, ce qui va, au fur et à mesure, encourager les échanges dans le groupe. C’est un terreau pour développer son altruisme et sa confiance en soi, en ses émotions ou ses perceptions.
Exemple.
Emilie s’adresse à Cécile pour la deuxième fois en proposant des conseils. Un premier travail avec Cécile sur ses ressentis émotionnels et corporels fait apparaître des tensions dans le dos et les mâchoires. Cécile nomme de l’agacement à propos de ces conseils. Elle n’ose pas s’exprimer car elle doute d’elle, de ses émotions et elle se juge : « C’est méchant d’exprimer des sentiments négatifs ». Elle pourra plus tard faire l’expérience de faire un retour à Emilie.
La première réaction de Emilie est la surprise, avec de l’incompréhension et un peu d’agacement qui se déplie lentement.
Deux séances plus tard, Emilie revient sur la parole de Cécile et partage comment elle a cheminé : elle a été vexée sur le moment. Mais au fil des semaines, elle a pris conscience que sa façon de faire était généralisable à son entourage. Elle pouvait enfin voir combien elle « imposait » ses conseils sans tenir compte de l’autre, plus particulièrement auprès de son conjoint et de ses enfants, qui se « révoltaient ».
Elle remercie finalement Cécile de l’avoir aidée à prendre conscience de ses propres mécanismes.
Pour Cécile, c’est la découverte de l’intérêt de ses perceptions, d’oser parler et l’ouverture d’un possible non imaginé jusqu’à présent : ma parole peut aussi aider l’autre ! Ce sera une graine pour restaurer son estime d’elle-même.
2. Expérimenter des techniques de relation, de sociabilisation
Au fil des séances, les membres du groupe découvrent et s'ouvrent à d'autres façons d'être en relation : écoute, expression des émotions, confrontation, affirmation de soi, sensibilité, empathie, spontanéité, partage et feedbacks, ... Ils peuvent expérimenter ces nouvelles techniques de relation, de socialisation, en toute sécurité.
Le travail de la relation en gestalt-thérapie duelle porte sur la relation patient – thérapeute, lorsque l’on travaille sur « l’ici et maintenant ». Ce travail est essentiel et au fil du temps le patient peut, grâce à la sécurité du cadre et au soutien du thérapeute, être davantage lui-même dans les échanges. Et ce travail a des effets hors du groupe thérapeutique, dans le quotidien au fil du temps.
Cependant, cette transposition est souvent difficile et parfois impossible car la marche à monter pour passer de l’espace thérapeutique à la vie de tous les jours peut être vécue comme trop grande.
Le groupe de thérapie permet d’expérimenter « in situ », en un lieu sécure, auprès de différents membres du groupe. C’est un espace transitionnel.
Exemple :
A l’occasion d’un échange, Anna fait une critique à Adrien, son ton est sec. Le thérapeute perçoit un mouvement de repli du corps d’Adrien et choisit de déplier ce qui se passe pour Adrien à l’occasion de cet échange. Adrien explique qu’Anna lui fait penser à une collègue qui l’énerve mais à qui il ne dit rien. Il a même tendance à la fuir. Il se sent crispé face à Anna. Il a déjà intellectuellement imaginé d’autres possibilités de réagir quand il est irrité dans le travail de thérapie duelle mais il bloque.
Le thérapeute peut proposer de faire l’expérience « ici et maintenant » avec Anna et le soutien du groupe. Adrien peut choisir d’accueillir son agacement et de s’adresser directement à Anna : « Anna, je suis très agacé quand tu me parles sur ce ton. Je préfère que tu me parles de toi, plutôt que de me faire des critiques. »
3. Développer ses relations et l’acceptation de ses émotions dans « l’ici et maintenant »
"Un bébé seul, cela n'existe pas. C'est la paire mère-enfant qui existe" disait D. Winnicott. L'être humain est un être profondément social en lien avec son environnement. Le groupe est le lieu idéal pour développer ses relations interpersonnelles, vivre, exprimer et accepter ses émotions dans l'ici et maintenant avec d'autres êtres humains sans être rejeté, blessé, jugé, envahi, abandonné.
Le groupe est l'opportunité, dans un premier temps, de prendre conscience de ses schémas relationnels répétitifs en groupe (retenue, fuite, évitement, conseil, ...).
Dans un second temps, la personne pourra faire l'expérience de nouvelles façons de relationner. Par exemple, d'exprimer ses émotions qu'elles soient agréables ou désagréables en lien avec l'autre en toute sécurité.
La répétition de ces expériences et la prise de conscience intellectuelle et émotionnelle de cette nouveauté permet d'ancrer le changement dans le groupe, puis dans la vie hors du groupe.
Un atout essentiel de la thérapie de groupe est la présence in situ et donc dans « l’ici et maintenant » de la plupart des émotions. L’émotion qui apparaît à l’occasion d’une personne du groupe va pouvoir se déplier dans le groupe au moment où elle apparaît. La grande différence entre thérapie duelle et de groupe est que dans la première, il n’y a aucune autre personne, seulement le thérapeute ce qui limite la variété des possibilités.
En effet, les investissements envers le thérapeute sont forts et font soutien pour la sécurité du patient.
C’est un frein pour l’expression d’émotions négatives car le patient peut être pris par une peur de perdre ce soutien s’il s’exprime à l’occasion du thérapeute.
C’est particulièrement prégnant avec la colère. Dans mon expérience, il est très fréquent que la colère soit d’abord exprimée en situation groupale avant qu’elle soit ensuite abordée en situation duelle.
En groupe, il y a la possibilité d’expérimenter la colère avec les autres membres ou le co-thérapeute tout en conservant le soutien du thérapeute. Une autre étape que j’ai pu aussi vivre est la possibilité d’exprimer la colère envers le thérapeute en s’appuyant sur le groupe qui apporte du soutien.
Bien entendu, ce qui peut se dire pour la colère peut l’être aussi pour toute autre émotion.
4. Réactiver les interactions et les relations sociales dans la famille d’origine
Le groupe est un microcosme social qui va réactiver les interactions et les relations sociales développées initialement au sein de la famille d'origine puis dans les divers groupes sociaux actuels (au travail, entre amis, en famille, …).
Le groupe de thérapie est un groupe social avec des hommes et des femmes et un ou deux thérapeutes. Ce qui se joue dans les autres groupes sociaux extérieurs va se rejouer dans ce groupe et tout particulièrement ce qui s’est vécu dans la famille d’origine quand le patient était un enfant.
Telle personne va faire résonance en tant que père, mère, frère ou sœur. Les thérapeutes, particulièrement s’il y a un homme et une femme, peuvent être investis comme le couple parental.
Les thématiques évoquées par l’un ou l’autre peuvent aussi faire résonance avec l’enfance et des comportements peuvent se réactiver.
Exemple :
A l'occasion d’un petit groupe où il n’y avait que des femmes comme participantes, Léna souligne le fait qu’il n’y a que des femmes : « J’ai la sensation que nous sommes des sœurs », puis partage son désir de maternité et les peurs que cela lui fait vivre. Marie s’agite en face et intervient de manière virulente : «Je n’ai pas envie d’entendre Léna, je refuse d’être vue comme sœur ». Après une séquence de travail, Marie peut identifier ses sensations : «J’ai une boule au ventre, j’ai le dos tendu, … » Plus tard elle évoquera des images d’elle enfant avec ses deux sœurs, des moments où elle se sentait envahie mais sous la contrainte d’être obéissante par peur d’être rejetée. Elle pourra ensuite identifier qu’actuellement, elle perçoit de la part de sa mère une pression à avoir des enfants qui lui est insupportable. Un travail sur ce qu’elle vit « ici et maintenant » à l’occasion de la parole de Léna lui permettra de se décoller un peu de ses comportements anciens et de s’adresser à Léna de manière plus ajustée à la situation présente.
5. Réactivation en direct (catharsis)
C’est la réactivation en direct (catharsis) qui va permettre progressivement à la personne de prendre conscience de ses interactions actuelles avec les autres. Puis progressivement, d'expérimenter dans le présent de nouvelles façons d'être en lien avec les autres.
La réactivation en direct est le processus par lequel à un instant donné une émotion, un ressenti, une image, un souvenir, une pensée, un mouvement ancien vont revenir au présent, souvent avec une grande énergie. C’est comme un élastique qui était tendu et qui à partir d’un événement va se détacher. En gestalt-thérapie, c’est ce qui est appelé une gestalt inachevée qui se réactive, se répète.
Ces phénomènes peuvent arriver en thérapie duelle mais en thérapie de groupe, par la présence des autres, les occasions sont beaucoup plus fréquentes, plus variées et plus fortes, donc plus facilement identifiables pour le thérapeute.
En reprenant l’exemple précédent sur la réactivation des relations sociales de la famille d’origine, c’est la situation spécifique, uniquement des femmes, et la parole de Léna sur la maternité, qui réactivent le souvenir. Il peut, bien sûr y avoir d‘autres éléments qui participent à cette réactivation comme la voix ou le ton employé par Léna, l’investissement de Marie envers la co-thérapeute qu’elle a pu ressentir comme une maman …
L’énorme atout, c’est que cela se fait en direct, c’est-à-dire dans l’ici et maintenant de la situation. Cela permettra à Marie de prendre conscience de cette réactivation/répétition puis de s’en détacher pour commencer à expérimenter d’autres façons de faire relation avec Léna plutôt que de répéter la colère ou l’isolement ou de vivre du malaise sans pouvoir identifier ce qui se passe.
B - La phase de maturité et la phase de clôture :
La troisième phase du groupe est celle de la maturité et intervient au fil du temps. Elle se caractérise par la possibilité pour le groupe d’échanger, de se confronter, d’aller dans l’intimité plus facilement et plus profondément.
Elle se terminera par la phase de clôture qui voit poindre la fin, la dissolution du groupe. Dans la vie courante, la phase de clôture est souvent écourtée et mise de côté. En Gestalt-thérapie duelle ou en groupe, c’est au contraire l’opportunité de prendre le temps et de mettre de la conscience sur la finitude.
Ces deux phases sont distinctes. Elles sont regroupées ici car c’est dans ces phases qu’apparaissent plus particulièrement les facteurs thérapeutiques suivants.
1. Les questions existentielles
Le groupe est aussi l'occasion d'aborder les questions existentielles de l'absence, de la perte, de la mort, de la liberté et de la responsabilité, de la solitude, du sens de la vie …
I.Yalom parle dans son livre « Thérapie existentielle » de quatre questions ou angoisses existentielles :
- La mort. Elle peut aussi apparaître au travers de la perte, de la séparation et sera particulièrement présente au moment de la dissolution du groupe.
- La responsabilité ou le choix. Nous sommes responsables de nos actes, de nos choix. Cette liberté est une chance et aussi un poids parfois lourd, que ce soit dans nos grands choix de vie ou dans les petits du quotidien.
- La solitude. La responsabilité et la liberté interrogent l’être que nous sommes sur la solitude et le lien avec les autres.
- Le sens. Pourquoi vivons-nous ? Quel est le sens de ce qui m’arrive ? Pourquoi cela m’arrive à moi ? Et bien d’autres questions sur le sens de la vie peuvent nous préoccuper.
Dans ces phases de maturité et de clôture, le groupe est suffisamment sécure, il est alors possible de toucher et d’aborder plus en profondeur les questions existentielles.
J’ai l’image du travail de thérapie comme d’un oignon avec ses différentes couches que l’on pèle. Au fur et à mesure de l’avancée du travail, la personne accède à une couche plus profonde d’elle-même. Le travail de thérapie avance de couche en couche. Le passage d’une couche à l’autre étant le moment où la personne récolte les fruits de son travail avec des prises de conscience et une forme de sérénité.
Le choix de continuer ou de mettre fin au travail est fréquent au passage d’une couche à l’autre. L’entrée dans le groupe de thérapie pourrait correspondre à ‘l’attaque’ d’une nouvelle couche d’oignon.
2. Le fond groupal comme activateur de conscience
Le tout est plus que la somme des parties. Il existe un phénomène que Jean-Marie Delacroix nomme le fond groupal. La présence même des membres du groupe dans le lieu avec leurs émotions individuelles conscientisées ou pas va avoir un effet de résonance et de mise en conscience pour le groupe et les individus.
Au fil des échanges et des partages, une thématique commune sous-jacente qui parle du groupe et de chacun va apparaître à travers la parole ou les actes d’un ou plusieurs membres pour devenir plus présente.
Exemple :
Ce groupe se connaît depuis plusieurs mois et le dévoilement des histoires personnelles des participants est plus présent.
Laure : «Ce week-end j’ai eu une crise d’angoisse. Paul, mon compagnon, a décidé que nous irions déjeuner chez ses parents dimanche midi. J’étais fatiguée de ma semaine et je voulais plutôt rester sous la couette. Mais je n’ai pas osé dire mes envies. Qu’auraient dit mes beaux-parents ? Et puis, c’est égoïste de ne penser qu’à soi. » Laure épie les réactions du groupe et ajoute : « Je sens de la chaleur de vous dire cela. Je suis un peu gênée, je me sens nulle ».
Michel : Moi aussi, Laure, j’ai vécu un truc comme ça, c’est bizarre, je ne saurai pas trop comment dire mais au repas de Pâques mon beau-frère parlait d’un de ses amis qui a quitté sa femme en disant que c’était un gros salaud. Je me suis senti mal mais je ne comprends pas pourquoi.
(…)
Lucie qui est arrivée la dernière dans le groupe prend la parole en dernier d’une petite voix en jetant des regards à la volée vers le groupe et les thérapeutes : «Je n’ai pas grand-chose à dire, … je n’aime pas être au centre et je suis impressionnée que tout le monde me regarde. J’ai peur de dire des choses pas intéressantes ».
Le thérapeute à l’écoute du groupe plutôt que des individus individuellement peut identifier des pistes de thématiques sous-jacentes, souvent non conscientes, qui apparaissent de plus en plus fort au fil des résonances personnelles dans le groupe. Il se détachera du contenu pour porter une attention au processus.
Dans les situations amenées mais aussi dans ce qui se vit dans le groupe, la thématique pourrait être : expression de sa singularité face aux autres et peur du regard de l’autre et du jugement
Une intervention s’appuyant sur le fond groupal qui émerge permet à chacun de travailler.
Le thérapeute pourra par exemple proposer une expérimentation corporelle sur cette thématique ou interpeller directement le groupe par une des interventions suivantes :
· «Il me semble que le groupe commence à s’exprimer dans sa différence et qu’il pourrait y avoir des jugements qui viennent. Comment cela résonne pour le groupe et pour chacun d’entre vous ?»
· “J’ai l’image d’un animal qui sort du bois, scrute le reste du troupeau avec la peur du regard des autres. Comment cette image résonne pour vous, en vous, pour le groupe ? Laissez-vous sentir.”
Au fil des différentes phases du groupe (orientation, confrontation, maturité et clôture), les thèmes qui apparaissent varient. Dans la première phase d’orientation, par exemple, les peurs liées à l’arrivée dans un groupe inconnu, peur de se perdre, de prendre sa place, de dire, de se dire, de se dévoiler sont fréquentes.
Un travail autour de la peur avec une personne va engendrer des résonances fortes pour d’autres personnes et progressivement devenir thérapeutique pour le travail dans le groupe.
Dans les deux dernières phases, celles de maturité et de clôture, ce phénomène va favoriser l’émergence d’un ou plusieurs questions existentielles évoquées par I.Yalom.
Conclusion
Après quelques années de facilitation de groupe de Gestalt-thérapie en co-animation, je suis de plus en plus convaincu que la thérapie de groupe est beaucoup plus qu’un complément à la thérapie duelle.
Un des concepts clefs de la gestalt-thérapie est la relation organisme/environnement : c’est ce qui se passe à la frontière entre moi (l’organisme) et les autres (l’environnement). Le travail peut être fait à deux mais l’environnement proposé au patient est limité à une seule personne.
Le groupe apporte une variété, une richesse des situations qui ouvre aussi à plus d’inattendu grâce à la présence des autres. En contrepartie, la thérapie duelle est un atout lorsque la personne est en grande souffrance et qu’aller vers les autres est trop angoissant ou dangereux.
Les retours des patients sont : le groupe peut être remuant, difficile au départ mais que c’est un accélérateur, un révélateur dans le travail et qu’il est a posteriori souvent une étape clef dans leur thérapie.
Je reste aujourd’hui convaincu que le couplage de la Gestalt-thérapie duelle et de la Gestalt-thérapie en groupe est un atout pour le patient mais demande au thérapeute de se former et de développer des compétences spécifiques au travail de groupe.
Marc Thouret,
Gestalt-thérapeute. Pratique les thérapies duelle, en groupe, du couple et de la famille. Exerce à Vif (38).
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« L’environnement comme ressource ». A Dire No2 du printemps 2022, publication en ligne de la Fédération des Professionnels de la Gestalt-thérapie https://www.fpgt.fr/page/1843876-a-dire-02-primtemps-2022#ressource
2 Cette phase est la deuxième dans les étapes de vie d’un groupe. La première phase est décrite dans le premier article.
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