FPGT
Menu icoMenu232Dark icoCross32Dark

Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux

Cliquez pour éditer
  • FPGT
  • Accueil ▴▾
    • Présentation
    • Actualités
    • 1/4 d'heure déonto
    • Rencontre gestaltiste - CO 2025 de la FPGT Aide
    • Engagement
    • À Dire
    • Visio conférences
    • Missives de la FPGT
    • Ecoles de Gestalt-thérapie
    • Profession de Gestalt-thérapeute
  • L'association ▴▾
    • Raison d'être
    • Statuts
    • Règlement intérieur
    • Codes de déontologie
    • Lexique
  • Adhérer ▴▾
  • Annuaire PRO ▴▾
  • FAQ
  • Contact
  • Se connecter
  • Présentation
  • Actualités
  • 1/4 d'heure déonto
  • Rencontre gestaltiste - CO 2025 de la FPGT Aide
  • Engagement
  • À Dire
  • Visio conférences
  • Missives de la FPGT
  • Ecoles de Gestalt-thérapie
  • Profession de Gestalt-thérapeute
  • Raison d'être
  • Statuts
  • Règlement intérieur
  • Codes de déontologie
  • Lexique
Retour
À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023

la Chronique

J’ai adoré travailler les statuts de la FPGT !

Rien de plus rébarbatifs qu’un règlement intérieur et des statuts pourtant, mais ce soir, j’ai de la joie. Nous venons de terminer une version suffisamment aboutie pour être viable. Elle décrit les

relations d’un monde dans lequel j’ai envie de vivre.

En agissant sur l’environnement, nous créons les conditions d’une autopoïèse créative.

L’autopoïese, c’est cette observation que nous sommes créés par notre environnement en même temps que nous le créons. L’environnement qui se crée à la FPGT et dont nous prenons

acte peut favoriser le bien-être de ses membres.

Le cadre de gouvernance partagée que nous décrivons dans ces statuts favorisera cette

liberté d’être qui est centrale pour nous, gestaltistes : laisser la vibration de chacun·e

s’exprimer au maximum dans ce qu’il fait. Tant qu’il ne bride pas les autres. Tout en restant

en lien avec le collectif.

C’est je crois l’art de vivre gestaltiste que nous voyons prendre forme dans le fonctionnement de la fédération.

Et cerise sur le gâteau, nous avons inventé un processus créatif hyper technique pour écrire ces

statuts en lien avec tous les adhérents intéressés. En congruence avec l’élan de coopération.

Ce qui m’a plu au-delà de la technicité ? L’humanité qui circulait. L’ambiance.

Quatre nanas convaincues que la fédération en a besoin, qu’il faut le faire, et qui voulaient se

débarrasser le mieux possible de cette tâche.

Nous nous sommes appliquées les principes que nous écrivions. Avec pas mal de laxisme

j’avoue. Ça dérivait, on parlait n’importe comment, jusqu’à ce que l’une de nous nous rappelle à

notre œuvre, et que l’on se discipline tranquillement autour de ce que nous avions à faire et

de nos processus.

Humainement, il y a eu des moments courts mais intenses de tension, qu’on a dépassés en prenant le temps d’exprimer nos vécus intérieurs, avec transparence, humilité, et ce côté cash de la vraie vie qui pique un peu. Moments que nous avons prolongés par une promenade intégrative au milieu des étangs.

Il y a eu aussi des temps de convivialité, des balades, de bons repas, des moment de franches ronchonneries, de la légèreté, des blagues à vingt centimes. C’était ressourçant.

Nous avons vécu une équipe à énergie positive.

Il y a le plaisir du résultat. Nous avons l’impression d’avoir réussi à repérer l’essentiel de la

gouvernance partagée pour des gestaltistes, ce sur quoi nous ne devons pas lâcher, (une

subversive liberté d’être) et la chair autour, qui peut prendre diverses formes.

Dans cette alliance de la satisfaction personnelle et de la construction d’un environnement

de travail sain, j’ai l’impression de réunir mes deux métiers de GT et de GPO (gestalt-thérapie et gestalt pour les organisations).

Notre processus fait que notre travail part maintenant à la rencontre des adhérents que cela

intéresse. Pas d’obligation, seul·es celleux qui le souhaitent le commenteront. C’est un peu le

principe de cette liberté. On recherche l’enthousiasme. Et nous améliorerons notre version

puis on l’entérinera au Cercle d’Orientation d’avril…

Parce qu’il faut bien bosser un peu pour avoir prétexte à fonctionner ensemble !

Rose JL Christin

Retour au sommaire

icoFacebook35Color icoComment35Color
icoFacebook35Color icoComment35Color
0 commentaire(s)
ou
Connectez-vous
Aucun commentaire pour le moment.
Consultez également
À Dire n° 6 - Automne 2023 - Sommaire

À Dire n° 6 - Automne 2023 - Sommaire

Au-delà des techniques, l’humainÉdito : Armelle FresnaisArticles :1 - Intelligence...

À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023
Intelligence artificielle : quelle emprise ?

Intelligence artificielle : quelle emprise ?

Je me suis lancée récemment sur une réflexion sur l’intelligence artificielle à partir des...

À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023
Édito

Édito

Chers lecteurs, chères lectrices,C’est avec plaisir que nous vous présentons ce sixième numéro...

À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023
Hors-jeu

Hors-jeu

Soixante-six ans et déjà hors-jeu ?La rage me pousse à mon clavier ! Une erreur de frappe et...

À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023
Il ne m’a pas calculée.

Il ne m’a pas calculée.

Ma chère Capucine,Cette expression, « Il ne m’a pas calculée », je l’ai entendue la toute...

À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023
De la présence à la distance, thérapie versus téléthérapie

De la présence à la distance, thérapie versus téléthérapie

Zoom-thérapie, avril 2020J’accueille une nouvelle personne en téléthérapie, conséquence du...

À Dire PÔLE ÉCRITURE
4 décembre 2023
icoFacebook24Color
  • Plan du site
  • Licences
  • Mentions légales
  • CGUV
  • Paramétrer les cookies
  • Se connecter
  • Propulsé par AssoConnect, le logiciel des associations Professionnelles