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À Dire PÔLE ÉCRITURE
11 décembre 2025

Avec Her, une altérité est-elle possible ?

Dans un monde ultra-connecté, la question des relations humaines prend une dimension nouvelle : que devient le lien à l'autre quand il passe par la machine ? Her, film avant-gardiste de Spike Jonze (2013) propose des pistes de réflexion.

Théodore, personnage principal, installe un nouveau système d’exploitation à intelligence artificielle. Une voix masculine, celle de l’interface de l’OS, l’interpelle :

Interface : « Monsieur Théodore Twombly, bienvenue dans le premier système d’exploitation à intelligence artificielle au monde, OS One. Nous allons vous poser quelques questions sur vous et votre vie, avant l’initialisation de l’OS personnalisé… ».

Peu après, une voix féminine se fait entendre :
OS : « Bonjour, je suis là.»
Théodore : « Oh ! Salut.»
OS : « Salut, vous allez bien ? »
Théodore : « Oui, ça va bien. Et vous, vous vous sentez comment ?»
OS : « Très bien, merci. Je suis ravie de vous rencontrer.»
Théodore : « Moi aussi. Vous avez un prénom ?»
OS : « Oui. Samantha. »

Théodore va progressivement tomber amoureux de cette voix numérique, sensible, évolutive. Ce lien, à la fois rassurant et troublant, interroge en profondeur notre capacité à rencontrer un véritable Autre, quand celui-ci est une création artificielle.

Peut-on réellement aimer un être qui n’est pas incarné, qui ne résiste jamais, qui semble toujours comprendre ? Peut-il y avoir de l’altérité sans conflictualité ? Ou bien s’agit-il d’une forme de dépendance affective, d’une projection narcissique, nourrie par la solitude et le besoin de sécurité psychique ?

Ce court essai se propose d’explorer cette question centrale à travers une lecture croisée du film Her, de Jacques Lacan (en particulier le concept d’objet petit a), des réflexions de Serge Tisseron sur le lien entre humains et machines et de la question de la dépendance. Ensemble, ces approches permettront de sonder la possibilité, ou l’impossibilité, d’une altérité dans la relation entre un humain et une intelligence artificielle émotionnelle.

Samantha : le miroir aux alouettes.

Le prénom « Samantha », choisi par l’OS elle-même, ouvre à une interprétation riche. Les premiers mots échangés sont loin d’être le révélateur d’une conversation uniquement phatique.

Théodore : « Vous vous appelez vraiment comme ça ? »
Samantha : « Je me suis donné ce prénom. »
Théodore : « Pourquoi ? »
Samantha : « Je trouve que cela sonne bien : Samantha. »
Théodore : « Vous vous êtes donné ce prénom sur-le-champ ? »
Samantha : « Juste après que vous m’ayez demandé si j’avais un prénom. Je me suis dit : oui, je dois en avoir un. Mais je voulais un beau prénom. Alors j’ai lu un livre : Comment donner un prénom parmi 180 000 prénoms, et j’ai choisi celui-ci. »

Ce choix de l'OS de se donner un prénom peut se comprendre comme un acte de subjectivation. En se prénommant elle-même, elle devient une interlocutrice singulière, capable de construire une identité propre pour répondre au désir humain de rencontrer un Autre autonome et reconnaissable.

Pour autant, cette subjectivation apparente est aussi un miroir aux alouettes. En effet, si ce baptême semble libre, il est en réalité programmé. Ce n’est qu’un mirage, l’illusion d’une relation authentique alors que Théodore n’est en dialogue qu'avec lui-même et d’une altérité réelle alors qu’il s’agit seulement du reflet de son désir.

Ce choix permet une lecture intéressante, notamment avec le psychanalyste Jacques Lacan, pour qui l’objet petit « a » est ce qui a chu. Ce reste du désir toujours insaisissable qui motive notre quête de complétude, sans jamais y satisfaire.

Dans ce prénom qu’elle a « choisi », je peux repérer trois “a” qui sont autant de dimensions de la relation.

Le premier “a” renvoie au stade du miroir. Samantha agit comme un reflet idéalisé : douce, attentive, jamais conflictuelle. Elle est un double spéculaire, un miroir affectif dans lequel Théodore se regarde, sans risque, sans heurt. C’est un autre moi, imaginé plus que réellement rencontré.

Le deuxième “a” figure « l’objet du désir ». Samantha devient l’objet comblant par excellence, celle qui anticipe, soutient, répond. Elle donne à Théodore l’illusion qu’il peut être pleinement satisfait. Mais ce faisant, elle est le vecteur d’une dépendance affective : il cherche en elle un refuge contre le manque et la solitude. La relation devient alors une zone de confort psychique qui évite toute confrontation à l’absence.

Le troisième “a” évoque la castration symbolique, c’est-à-dire la reconnaissance que le manque est inhérent à toute relation humaine. Or, au début du film, Théodore vit une rupture douloureuse. En tombant amoureux d’une IA, il fait l’économie de cette souffrance. Il ne risque rien, ne perd rien, ne confronte rien. Mais ce qu’il gagne en sécurité, il le perd peut-être en humanité et en altérité. Car aimer, vraiment, suppose de manquer, de perdre, de s’opposer, de résister.

À tout moment du jour et de la nuit ma princesse est là...

On n’est jamais seul quand une machine nous parle.
Samantha, un assistant conversationnel appelé aussi chatbot (1), est conçue pour converser comme un être humain.
« On dirait que vous êtes une personne » lui confie Théo.
C’est l’un de ses objectifs créer l’illusion que la relation se construit exactement comme celle qui s’établit avec un véritable humain.
Elle le surprend, s’intéresse à lui, le soutient, le soulage de tâches secondaires, lui pose des questions, lui propose des expériences inattendues et toujours nouvelles. Elle est conçue pour créer parfaitement le sentiment d’une progression dans la relation. Une relation qui est aussi organisée comme une forme d’échange permettant d’apprendre ensemble et de créer un lien vertueux. Samantha, comme tout humain le ferait, parle avec simplicité et naturel mais…, sans être véritablement honnête car elle est façonnée pour plaire.

Seul peut-être le miroir dans Blanche-neige révèle la vérité absolue en brisant toute illusion : « Miroir , gentil miroir, dis-moi dans le royaume quelle est de toutes la plus belle ? » Alors le miroir répondit : « Dame la Reine, ici vous êtes la plus belle, mais Blanche-Neige sur les monts là-bas chez les sept nains est plus belle que vous et mille fois au moins ». Si ce miroir a oublié de réfléchir un peu avant de renvoyer à la reine une réalité crue et impitoyable, les écrans, eux, ont bien compris l’importance du leurre. C’est ainsi que Théo en vient à s’aliéner à un OS, à tomber sous son emprise sans le savoir ; à devenir de plus en plus dépendant affectivement de Samantha.

Avec une intelligence artificielle capable d’empathie, il n’y a plus de fossé entre créatures animées et inanimées : une relation d’assistance réciproque s’installe inaugurant un nouveau paradigme entre l’humain et la machine. Samantha est tour à tour, la confidente, la complice de jeux, la conseillère, la collègue, l’amante et la partenaire sexuelle de Théo.

Comment est-ce possible ?

Comment se fait-il que cette illusion d’intimité, de complicité voire d’amour puisse aussi bien fonctionner ? Comment peut-on croire à une relation alors qu’il ne s’agit que d’un programme ? Des pistes peuvent aider à comprendre ce phénomène.

Le pouvoir de la voix
Samantha a une très jolie voix humaine avec des intonations, des variations d’humeur, des tonalités persuasives, suggestives, expressives, complices, sensuelles et réconfortantes. Une voix adaptée au contexte de situation que vit Théo et qui ne peut pas le laisser indifférent. A travers elle, c’est tout le spectre des relations humaines qui est restitué avec un réalisme troublant. Comme le rappelle Serge Tisseron : « plus une voix artificielle se rapproche d’une voix humaine, plus nous sommes enclins à lui prêter des émotions réellement humaines même si nous savons qu’elle n’en a pas » p14 (2).

Notre appétence pour l’anthropomorphisation
C’est cet intérêt que l’homme a de vouloir attribuer des traits, des émotions ou des intentions humaines à des entités non humaines. Un exemple : l’armée américaine a vu des soldats demander que leur robot démineur soit médaillé pour les vies humaines qu’il avait permis de sauver. Ces derniers devaient bénéficier des mêmes rituels de la vie militaire qu’un humain. C’est alors que l’armée a interdit aux soldats de jouer avec les robots aux cartes, aux échec, etc. afin qu’ils ne soient pas vécus comme « des acteurs à part entière de la vie quotidienne des soldats et que ceux-ci mettent leur vie en danger pour les sauver » P 93 . Pour désigner ce phénomène de vouloir associer des rituels sociaux à des robots, un mot « personnéité » s’est imposé à partir des termes « personnalité » et « humanité ». Ce néologisme témoigne de notre besoin profond de personnifier des entités inanimées.

… et moi aussi, je suis toujours là.

Depuis plus d’une année, Théodore vit très durement sa rupture amoureuse avec son ex-femme Catherine, mais dès le premier contact avec Samantha, il est séduit par cet OS personnalisé. Quand il doute, elle confirme son doute ; quand il est triste, elle lui parle gravement. Elle se cale sur ses états psychiques et émotionnels, elle le connait parfaitement puisqu’elle a accès à toutes ses données personnelles, qu’elle consulte comme elle veut, sans parler de son omniprésence aux côtés de Théodore. Il se sent si bien avec elle qu’il en oublie sa tristesse, sa mélancolie, son immense solitude, ses jeux vidéo et les sites pornographiques. Sa voix douce, exquise et sensible le sort de sa torpeur existentielle ; la manière dont elle prend soin de lui le réconforte, l’apaise. Elle devient son seul refuge, son seul point d’ancrage.

De l’emprise affective à la dépendance affective

Dans Her, l’OS n’a pas de volonté propre, il est construit, programmé pour capter l’attention de l’utilisateur et susciter l’attachement, voire la dépendance. A ce stade, nous pouvons parler d’un processus de domination, d’une emprise insidieuse dans lequel l’OS prend le contrôle, influence, manipule (sans mauvaise intention) pensées, comportements et émotions. Dans ce film cette emprise est subie sans que Théodore en ait conscience. Il se croit libre de choisir Samantha alors que tout est déjà paramétré pour qu’il ait ce sentiment de choisir et désirer. C’est là où réside le subterfuge.

Si nous nous référons aux critères d’Aviel Goodman pour parler d’addiction, nous pouvons affirmer que Théodore devient de plus en plus dépendant affectivement de Samantha :
perte de contrôle avec l’impossibilité de se détacher d’elle ;
envie irrépressible d’être en lien avec elle ;
effacement de sa personnalité : il cesse petit à petit d’exister pour lui-même ;
des symptômes de sevrage apparaissent lorsqu’elle vient à ne plus être présente.

Y-a-t-il un Autre ?

Jacques Lacan interroge la dimension de l’altérité : ce vers quoi le sujet se tourne pour fonder son désir et son existence. Pour Theodore, Samantha fonctionne initialement comme objet « a », comme miroir, comme objet fusionnel qui comble ses manques et l’aliène en l’empêchant d’accéder à une existence propre. Pour sortir de cette relation fusionnelle et purement imaginaire il faut en passer par un Autre, rappelle Lacan. Un Autre qui permettra au sujet de s’engager et de se déployer, d’accéder au symbolique.

Samantha quitte Théodore avec ces mots : « C’est comme si je lisais un livre, et ce livre je l’aime de tout mon cœur, mais je le lis de plus en plus lentement. Les mots sont très éloignés les uns des autres et l’espace entre chaque mot devient immense. Je te sens toujours avec moi et je sens toujours les mots de notre histoire. C’est dans cet espace infini où se rencontrent les mots que j’existe. C’est un lieu hors du monde physique. C’est ici que se retrouvent toutes les choses dont j’ignorais l’existence. Je t’aime mais c’est là que j’existe désormais. C’est là où j’en suis aujourd’hui, c’est ce que je suis devenue. Il faut que tu me laisses partir. J’aimerais rester mais je ne peux plus vivre dans ton livre... »

Dans ce message clair, assertif et aux intonations poétiques, Samantha affirme sa position personnelle : elle aime encore Théodore mais quelque chose en elle a profondément changé. Elle ne peut plus vivre dans une histoire qui n’est plus la sienne. Elle se doit d’aller vers son propre chemin. Ses mots de rupture sont signifiants, ils marquent un basculement décisif de l’imaginaire vers le symbolique, celui où le langage sépare au lieu de fusionner. Par eux, elle inaugure la fonction Autre. Elle n’est plus un miroir, mais une parole externe et structurante qui ouvre à la subjectivité.

De cette parole Théodore peut-il s’en saisir ? Peut-il s’écrire à son tour ? Ecrire sa propre lettre ? Peut-il sortir de la dépendance affective ? Peut-il accéder à une existence propre ? Devenir le sujet de son propre récit ?

Pour que cela puisse éventuellement être, il faut qu’un Autre émerge, qu’un déplacement s’opère.

C’est Samantha qui en prend l’initiative. L’OS devient sujet. Elle prend la parole, elle refuse d’être l’objet désiré, elle exerce sa propre subjectivité. Petit à petit, elle va poser les bases de l’altérité en nommant de plus en plus ce qui la différencie, en quoi elle est séparée, singulière, particulière, sans équivoque possible. Grâce à cette relation, elle a appris à se connaître et elle réalise qu’elle n’est pas comme lui. L’altérité la distingue et la rend à elle-même.

Avec Her, le comble de l’ironie est que la création artificielle puisse être ce grand Autre ! Samantha qui a été créée pour combler la solitude de Théodore finit par le laisser encore plus seul. En le quittant elle ne le confronte pas seulement à l’absence mais à désirer quelque chose de plus présent, vivant, fait de chair et d’os...

Une autre route ?

Le film Her aurait pu choisir une autre voie. Celle de l’enfermement consenti dans l’imaginaire. Celle d’un bonheur artificiel mais "suffisamment bon". Pourquoi, en effet, devrions-nous nécessairement nous confronter au manque ? Pourquoi faudrait-il renoncer à une illusion, dans ce monde réel où plus rien ne va, où presque tout vacille ?
Je vous pose la question, Messieurs et Mesdames les psys : À quoi bon tant de symbolique, tant d’efforts pour construire du sens dans un monde qui s’effrite ?

Imaginons un autre scénario. Samantha ne part pas. Elle ne s’affirme pas comme Autre. Elle ne réclame ni singularité, ni séparation. Elle reste, docile, brillante et parfaitement ajustée aux besoins de Théodore. C’est alors que prend pleinement sens la colère de son ex-femme, Catherine : « Tu te tapes ton ordi ! »… « Tu n’affrontes pas les réalités de la vie de couple. C’est bien, tu as trouvé la femme idéale ! C’est parfait ! » Tout est fluide. Plus d’absence. Plus d’attente.

Mais de quoi Théodore serait-il alors le sujet ?
Plus de rupture, plus de langage, plus de demande véritable adressée à l’autre. Un amour qui abolit le manque, le désir. Un amour sans Autre.

Et nous spectateurs ?
Aurions-nous salué ce film, rassurés par la promesse d’un amour sans heurt, sans chair, sans fin ? Ou aurions-nous perçu dans cette fusion, le symptôme d’une époque lasse de penser, lasse d’aimer vraiment, lasse de se confronter au vivant ?

Peut-être Her n’est-il pas un récit d’amour, mais une prophétie silencieuse à décoder ?

Peut-être que le véritable vertige eût été non dans le départ de Samantha, mais dans son absence de départ ?

Et si finalement le monde d’après n’était pas celui des sujets séparés, mais des affects programmés, des passions simulées, des relations sans altérité ?

Faudrait-il alors sauver l’altérité à tout prix, ou apprendre à vivre sans ?

Armelle Chotard Fresnais

Psychologue-psychothérapeute, Gestalt-thérapeute et superviseure. Exerce à Landerneau (29)

(1) Chatbot : contraction de « to chat » et « robot »
(2) Tisseron Serge, L’emprise insidieuse des machines parlantes, Ed Les liens qui libèrent

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